Il n’y aucune obligation prévue par les textes d’apposer la mention « lu et approuvé » ou « bon pour accord » sur les documents conclus par signature électronique. La jurisprudence a rappelé à plusieurs reprises que la mention « lu et approuvé « n’avait pas de valeur juridique (Cour de cassation, 1ère, 30 octobre 2008, n°07-20001). La signature qu’elle soit électronique ou manuscrite implique le consentement de la personne qui est une des conditions de validité juridique d’un contrat.